jeudi 27 février 2014

Dossier Les précurseurs du retail ouvrent la voie au commerce connecté

A lire sur: http://www.ecommercemag.fr/Thematique/strategies-omni-canal-1009/Dossiers/Les-precurseurs-retail-ouvrent-voient-commerce-connecte-232975/sommaire.htm


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Les magasins sont en pleine transformation physique. Le commerce pur et dur disparaît au profit de la notion de service, de facilitateur d'achats, de fournisseur de solutions. Une extension salutaire pour les consommateurs, qui profitent de nouveaux lieux de vie en accord avec leurs besoins.


MWC 2014 : la ville de demain entièrement connectée?

A lire sur: http://www.ecommercemag.fr/Thematique/marketing-1012/mobile-marketing-10055/Breves/MWC-2014-ville-demain-entierement-connectee-233968.htm

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La ville de demain et ses immeubles seront-ils connectés ? Seront-ils capables d'interagir davantage avec des smartphones toujours plus performants, pour proposer aux utilisateurs de nouveaux usages et donc de nouveaux services ?

MWC 2014 : la ville de demain entièrement connectée?
En 2013, le monde compte plus de 7 milliards de mobiles soit quasiment autant de téléphones portables que d'êtres humains sur terre. Selon une récente étude menée par Cisco, le nombre d'équipements mobiles connectés devraient continuer à croitre en 2014, et donc dépasser le nombre d'êtres humains, pour atteindre 10 milliards. Le succès du mobile est indéniable, et son impact sur la vie et les usages de ses utilisateurs, indiscutable.
Matt Grob, vice-président exécutif du géant américain spécialisée dans la fabrication de solutions télécommunications Qualcomm, témoignant dans le cadre du Mobile World Congress, y voit une opportunité, notamment pour la conception des immeubles du futur. "Aujourd'hui dans le monde, 50% de la population vit en ville, et d'ici 2050, les citadins devraient représenter 70% de la population. Les immeubles sont les lieux où une majeure partie de la population vivra, dormira, mangera, etc. Notre impact carbone continuera de croitre, c'est pourquoi nous devrons apprendre à mieux gérer l'énergie et les espaces".
Selon Matt Grob, les smartphones ont un rôle à jouer dans cette dynamique. En effet, outre la montée en puissance de la qualité des connexions à l'Internet mobile, plus généralement, c'est la très grande diversité des modes de connexion qui laisse présager de futurs développements intéressants."Bluetooth, 3G, 4G et bientôt 5G, mais aussi le Wifi, la fibre, le NFC, l'éthernet... aujourd'hui tout ou presque est connecté ou connectable".
Si tout reste encore à faire, Andy Castonguay a néanmoins sa petite idée sur le devenir des immeubles de demain : "on peut imaginer qu'ils deviennent peu à peu des plateformes géants pour les applications et les services, avec des multiples possibilités de monétisation".
Une vision qu'a déjà anticipé l'opérateur de téléphonie sud-coréen SK Telecom. Grâce à une solution d'intérieur intelligente baptisée "Location Guide", la firme est capable de connecter pléthore de lieux, depuis la maison, en passant par les magasins, la bibliothèque publique, les hôpitaux, les aéroports jusqu'aux musées.
Bin Bae, SK Telecom
Bin Bae, SK Telecom
Concrètement cette solution repose sur des "Beacons", des petits appareils à installer dans des lieux physiques, capables d'interagir avec les smartphones. En leur envoyant des informations notamment. Ainsi, une fois arrivé dans une boutique, le mobinaute pourrait connaitre l'état des stocks sur une paires de chaussures donnée, ou encore recevoir une promotion sur son mobile lorsqu'il se promène dans la rue. 
Il pourrait également connaitre précisément sa position dans un grand musée inconnu grâce à la géolocalisation, ou encore découvrir quel artiste a peint le tableau devant lequel il se trouve. Aussi, à son arrivée dans un aéroport, il pourrait connaitre depuis son mobile le temps de retard de son avion ou encore savoir comment se rendre jusqu'au terminal depuis lequel il décollera. Tout est donc imaginable ou presque, d'autant que selon le directeur de SK Telecom, Bin Bae, la suite logique est de "parvenir à envoyer toutes ces informations à des lunettes connectées", à la manière des fameuses Glasses de Google.

MWC 2014 : À quoi ressemblera le mobile en 2024 ?

A lire sur: http://www.ecommercemag.fr/Thematique/marche-prospective-1010/prospective-10046/Breves/MWC-2014-quoi-ressemblera-mobile-2024-234016.htm

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Le mobile de demain est-il un nécessairement un smartphone? Des éléments d'analyse de l'anthropologue australienne Geneviève Bell dessinent un tout autre avenir pour le device star du Mobile World Congress.

MWC 2014 : À quoi ressemblera le mobile en 2024 ?
Qu'en sera-t-il du mobile en 2024 ? Une question délicate, qui se pose néanmoins, au regard de la volonté des fabricants d'anticiper les futurs développements autour de ce device. Pour le Docteur en anthropologie Geneviève Bellle mobile de demain sera "wearable", c'est à dire qu'il s'inscrira probablement dans un environnement composé d'une multitude d'objets connectés au Web, et littéralement "portables" par leurs utilisateurs, au même titre que des bijoux ou des vêtements.
Selon Geneviève Bell, la question n'est pas de savoir à quoi ressemblera le mobile en 2024, mais plutôt : "pourquoi devrions-nous porter tous ces accessoires connectés qui composent la révolution du 'wearable' ". Toujours selon elle, afin d'anticiper l'avenir, il convient de se tourner vers le passé, et d'identifier trois technologies qui ont révolutionné les usages en leur temps.
La première remonte au 13e siècle et vient d'Italie, il s'agit des lunettes. Leur caractéristique-clé? "Elles 'réparent' - fix- une défaillance physique de l'être humain à savoir sa vision". Viennent ensuite les montres. "Elles ont complètement changé le rapport de l'homme au temps et ont traduit dans le même temps des notions comme le statut, l'attitude, le style". Enfin, lesarmures (militaires). Personnalisables, composées d'une multitude pièces, elles ont apporté la protection à leurs soldats, l'identité, et même dans une certaine mesure, traduisaient le pouvoir de son propriétaire.
Plus concrètement l'appareil mobile de demain devra répondre à plusieurs grandes règles. Les fonctionnalités qu'il proposera devront être utiles, sécurisantes, et présenter un intérêt clair et mesurable pour son utilisateur. Concernant son design, il devra être facile à utiliser, "fashion", et avoir une portée symbolique forte. Enfin, Il devra être connecté aux individus, mais aussi au temps, aux lieux et faire sens.
Voilà des pistes à explorer afin de développer des devices pas uniquement beaux, mais surtout utiles. "La seule limite est notre imagination, or, la fiction a déjà posé les bases des plus grandes attentes humaines en matière de technologie. Et tout le monde désormais a grandi avec la télévision, les films ou même les bandes dessinées".
L'anneau "Fin" (wearable), une bague connectée de commande gestuelle :

Analog vs. Digital Phone Systems

A lire sur: http://it.toolbox.com/blogs/voip-news/analog-vs-digital-phone-systems-59044

VoIP_News 6 days ago
Several businesses have migrated to a digital phone system over the past six years. Voice over IP (VoIP) technology has greatly advanced with higher Internet speeds becoming commonplace. Dial-up Internet connection has become an obsolete technology as many Internet service providers offer speeds that are more than adequate for installing a digital phone system on. This article explores the pros and cons of analog and digital systems and the options available for businesses to decide which solution may best benefit them.

Comparing Systems
 The analog Public Switched Telephone Network (PSTN) is a wired network used to place landline phone calls over copper wire lines. The first phones were wired into a local exchange that was wired together with trunks. As phone networks grew, so did the demand for clear voice calls. Equipment and network configurations had to determine the growing capacity to deliver high quality of service. Network operators took on the assignment of building phone networks and services to consumers. The Bell Telephone Company was the first company to be incorporated into the PSTN.

In the 1960s, phone calls began to migrate toward digitization, and automated electronic switching replaced manual switching performed by telephone operators for every call. Digital phone systems are mainly used in business applications as home and private users most often elect to switch to mobile phones rather than using VoIP. A typical digital phone system comes with a certain number of lines, with the option of adding more as a business grows. Direct lines, extensions, key entry recognition for inbound calls, and internal paging are some of the typical features associated with a digital phone system.

Pros and Cons
Each system has its pros and cons. Digital phone systems have many advantages over analog systems, but they contain their flaws, as well. Analog systems, although outdated, can still provide critical connections in need without fail. The advantages of digital systems seem to outweigh those of analog systems, which is why many businesses are switching to digital phone systems. Below are some of the high-level advantages and disadvantages of each.

Analog advantages include:

  • Low and easy maintenance
  • Simple to use
  • Minimal setup required

    Analog disadvantages include:

    • Limited scalability without the need for a private branch exchange (PBX)
    • Bandwidth is not fully used
    • Long-distance charges are higher than digital call charges

      Digital advantages include:

      • Increased effectiveness of call transmission and routing
      • Lower monthly cost
      • Largely scalable
      • Data and video transmission capability
      • Softphones can be used instead of adding a physical phone

        Digital disadvantages include:

        • E911 services still make it difficult for emergency responders to find the physical location of a caller
        • Inherited security threats associated with the Internet
        • Power outages and Internet connections will bring down communications

          Digital phone systems have changed the world of business communications by leaps and bounds over analog systems through functionality, scalability, and cost. Digital telephony has proven itself a long-term technology, with greater enhancements constantly being released.

          The greatest disadvantage to digital phone systems is the lack of a pinpoint location with E911 calls. It can literally mean life and death in the event of a critical emergency if 911 operators are not able to pinpoint the location of the call. For this reason, businesses that choose to run a digital phone system as their main means of communication should have at least one landline connection for emergencies.

          Cost Breakdown 
           Businesses can expect to pay around $30 per month for analog phone lines and around $10 for a digital VoIP line. Typical calls are 5–10 cents more on analog lines than VoIP lines, because digital calls placed over a VoIP network use existing Internet connections. Therefore, there is no need to have a separate line to connect a digital call.

          The lower cost of digital phone systems allows small businesses to enjoy the features that once only large businesses could afford. Pricing between the two has become competitive over the past decade, and with the growing number of hosted VoIP service providers, the price of digital phone systems becomes even more affordable.

          About the Author
          AnthonyAnthony Ortega has extensive IT support and systems engineering experience in government environments. A solutions-focused professional, he has led staff; worked in network operations support, information assurance, and change management; managed project software and licenses; and provided quality assurance. He has also developed coursework for VoIP, unified communications, and cloud computing for online colleges. Anthony is working on his Ph.D. dissertation in Organizations and Management, with a specialty in IT Management. He is an analyst withStudio B.

          Beyond Cost Benefits: The Value of Next-generation Communications

          A lire sur: http://it.toolbox.com/blogs/voip-news/beyond-cost-benefits-the-value-of-nextgeneration-communications-59052

          VoIP_News 6 days ago

          To succeed in a demanding communications market, businesses have to take new approaches to customer communication. These approaches require strict focus, reliable tools, committed management, and organizational discipline. Next-generation communications is the new process platform for businesses in an era of advances in IP telephony.

          A Phased Approach 
           The IP telephony market’s growing trends can be viewed as three phases. The first phase was the development of Voice over IP (VoIP), which is based on digital voice and data transfer over an Internet connection. VoIP technology was designed on the traditional model of computing following Moore’s Law, where performance doubled while cost went down over an 18-month period.

          The second phase in IP telephony is to replace old analog phone systems with digital voice systems, with a significant amount of cost savings to IT managers. Replacing legacy voice systems helps lower cost and brings added functionality through video and data transmission over a broadband connection. Other capabilities, such as unified messaging, add to the benefit of replacing analog with digital systems. Through the addition of digital telephony and all the features and options available, businesses can become more mobile and stay better connected to their customers.

          The third phase is based on value-added strategy. New trends in business and industry with greater global connections drive this phase. Session Initiation Protocol (SIP) has contributed to the pioneering of bringing a standardized signaling protocol among different vendors, phones, and IP hardware and software. Another advancement of IP telephony is Web services that present business applications for corporate communications. SIP and Web services connect processes and communications for business through automation. Automated business processes help to bridge the gap between traditional brick-and-mortar businesses with online businesses. Amazon Prime is a great example of this, offering consumers two-day free shipping on thousands of items that can be found at local stores. Through an automated process between warehousing and customer orders, Amazon is able to deliver products quickly and easily, with little wait time for customers to receive their purchases.

          A New Look for IT and Telecommunications 
           Through the phases of IT telephony comes a new way of thinking about telecommunication and IT departments. No longer is IT management strictly for computer networking; now, it involves the role of managing voice communications. Through the design of IP telephony, network administrators can easily incorporate voice traffic over the existing IT infrastructure. IP telephony is server based, and IT managers are able to manage and store voice communications locally.

          Telecommunications staff roles are now changing to service provider and dial plan management. Voice transport management is now the focus, which requires some new training and support to IT management. Telecommunication directors’ functions must be reassessed and repurposed with IP telephony.

          The next generation of communications through IP telephony opens a world of cost-effective, dependable, efficient, stable, and available ways for businesses to plan and implement their customer communication. Businesses that still have legacy communications systems should start to develop a plan to phase into an IP-based system: They will benefit in the long run. Long-term benefits greatly outweigh the short-term costs for businesses that plan to remain competitive.

          About the Author
          AnthonyAnthony Ortega has extensive IT support and systems engineering experience in government environments. A solutions-focused professional, he has led staff; worked in network operations support, information assurance, and change management; managed project software and licenses; and provided quality assurance. He has also developed coursework for VoIP, unified communications, and cloud computing for online colleges. Anthony is working on his Ph.D. dissertation in Organizations and Management, with a specialty in IT Management. He is an analyst with Studio B.

          mercredi 26 février 2014

          Le mainframe est encore promis à un bel avenir, mais la France manque de compétences

          A lire sur: http://www.infodsi.com/articles/146682/mainframe-est-encore-promis-bel-avenir-mais-france-manque-competences.html

          jeudi 20 février 2014
          Le Mainframe est-il toujours considéré comme une plateforme de choix par les entreprises et les administrations en France ? Quelle place occupe-t-il dans l'économie française ? En partenariat avec IBM, IDC a réalisé une étude afin d'évaluer la réalité de l'environnement Mainframe en France et la place qu'il pourrait jouer au cours des prochaines années. Voici ce qu'il faut en retenir. 

          Le mainframe constitue une part significative du marché informatique français. Les dépenses en matériels, logiciels et services estampillés "mainframe" ont, en effet, dépassé les 1,5 milliard d'euros l'an dernier. 11% de ces dépenses concernent l'équipement (serveurs et stockage), les 89% restant les logiciels et les services.

          Aujourd'hui donc, 65% des applications critiques sont supportées par un environnement mainframe. Et ce, alors que ce type d'environnement ne représente que 30% en moyenne de la dépense informatique externe des entreprises utilisatrices de mainframes.

          Le mainframe est donc bel et bien une plateforme stratégique. Il porte 13% de l'économie en France, soit l'équivalent de 240 milliards d'euros. Il fait vivre un écosystème de 300 partenaires sur le marché français (éditeurs, intégrateurs, sociétés de services, sociétés de conseils, etc.) et emploie 5% des compétences informatiques du pays, soit environ 30 000 personnes.

          Le marché de l'emploi Mainframe est d'ailleurs très dynamique. Près de 40% des structures dotées de compétences mainframe recrutent des experts en la matière ou ont procédé à des embauches au cours de l'année écoulée. Et près de 10% de ces mêmes organisations ont même créé de nouveaux emplois liés au mainframe au cours des derniers mois.

          Oui, mais voilà, le marché français manque aussi de compétences disponibles dans ce domaine. 59% des partenaires disent avoir beaucoup de difficultés à recruter des compétences mainframe, et ce quel que soit le profil (études, développement ou exploitation). C'est d'autant plus dommage que le mainframe est perçu comme une plateforme idéale pour supporter les projets de Cloud, de mobilité et le Big Data.

          Le mainframe a donc tout pour devenir au cours des prochaines années une plateforme de choix, ouverte, permettant de supporter les besoins d'une informatique en perpétuelle évolution.



          La convergence des technologies numériques ouvre de nouvelles opportunités de croissance aux entreprises

          A lire sur: http://www.infodsi.com/articles/146746/convergence-technologies-numeriques-ouvre-nouvelles-opportunites-croissance-entreprises.html

          lundi 24 février 2014
          La mobilité est la technologie numérique prioritaire pour les grandes entreprises, révèle une nouvelle étude mondiale d’Accenture publiée ce jour pour l’ouverture du Mobile World Congress à Barcelone. S’appuyant sur une enquête auprès de 1500 cadres dirigeants d’entreprises dans 14 pays, cette étude Accenture Mobility Insights Report 2014 a pour objectif de mieux comprendre la façon dont les entreprises voient et utilisent aujourd’hui les technologies numériques, en particulier la mobilité.

          Parmis les 1500 cadres dirigeants intérrogés, 43 % classent la mobilité en tête ou au deuxième rang de leurs priorités, et 77 % parmi les cinq premières. Vient ensuite l’analyse prédictive (‘analytics’) des Big Data (citée à 72 % dans le Top 5), suivie des produits connectés* (65 %).

          Selon cette étude, plus d’un tiers des entreprises (35 %) s’attendent à voir la convergence des médias sociaux**, des mobiles, de l’analytique, du cloud et des produits connectés – regroupés sous l’appellation « technologies numériques » – accroître leurs ventes sur les marchés existants :
          - Les trois quarts d’entre elles considèrent l’adoption des technologies numériques comme un investissement stratégique qui ne doit pas être évalué au cas par cas et 29 % escomptent en tirer des revenus supplémentaires ;
          - 28 % prévoient de bâtir de toutes nouvelles activités ou services numériques sous l’effet de cette convergence ;
          - 27 % espèrent pénétrer de nouveaux marchés au niveau mondial grâce à la mobilité et aux technologies numériques.

          De plus, un cadre dirigeant sur dix fait état d’un retour sur investissement (ROI) supérieur à 100 % pour les projets de mobilité mis en place au cours des deux dernières années et 26 % disent avoir enregistré un ROI compris entre 50 % et 100 %. Les entreprises les plus performantes dans ce domaine ont une approche similaire des nouvelles technologies, considérées comme des facteurs d’efficacité opérationnelle et de croissance sur le long terme.

          « La mobilité a été le précurseur de bon nombre des technologies numériques aujourd’hui adoptées. Les entreprises peuvent s’inspirer des succès en matière de mobilité pour réussir à leur tour dans les domaines de l’analytique, des médias sociaux ou des produits connectés », commente Jean-Laurent Poitou, directeur exécutif senior, responsable mondial de la stratégie et du développement des activités d’Accenture dans les secteurs des télécoms, des médias et des technologies

          Les entreprises constatant un ROI supérieur à 100 %, dont plus des deux tiers affirment avoir adopté et déployé efficacement les technologies mobiles (contre seulement 45 % des autres), ont en commun un certain nombre de caractéristiques :

          Une stratégie claire de mobilité à l’échelle de l’entreprise, assortie de mesures concrêtes : 11 % plus nombreuses que les autres participantes à l’enquête à disposer d’une stratégie de mobilité à l’échelle de l’entreprise. Cette année, 43 % des entreprises en moyenne ont élaboré une stratégie mobile, soit une nette amélioration par rapport aux 23 % observés lors d’une enquête similaire réalisée par Accenture l’an passé. Les processus et les indicateurs employés sont également riches d’enseignements, dans la mesure où 29 % des leaders disposent d’un processus officiel pour l’identification, l’évaluation et la priorisation des façons dont la mobilité peut profiter à leur activité, contre seules 18 % des autres entreprises. Pour les premiers comme pour les secondes, les mesures apparaissent comme n’étant pas prioritaires, puisque seuls 22 % des leaders et 13 % des autres entreprises ont mis en place des indicateurs formels pour mesurer l’efficacité de leurs initiatives en matière de mobilité.

          Une attitude résolue et ambitieuse : plus de la moitié (54%) des entreprises avec un ROI supérieur à 100% pour leur projets de mobilité déclarent avoir résolument investi dans les technologies mobiles dans l’ensemble de leur entreprise. Ceux-ci considèrent ainsi la mobilité comme un pilier de leur stratégie métier, contre à peine 40 % des autres participants à l’enquête. Cela se reflète également dans la plus grande propension des leaders à indiquer avoir adopté et déployé avec efficacité des technologies mobiles (69 % contre 42 %). En outre, les leaders sont en moyenne 8 % plus enclins à penser que toutes les grandes technologies numériques font partie des cinq premières priorités, par rapport aux entreprises moins performantes dans les projets de mobilité.

          L’adhésion de la direction : les leaders sont plus susceptibles de déclarer que leur PDG et l’équipe dirigeante ou le conseil d’administration finissent par s’approprier leur stratégie mobile et que leurs hauts responsables sont fortement engagés dans les projets de mobilité de l’entreprise. Parmi tous les participants à l’enquête, 35 % ont associé leur direction générale à la formulation de leur stratégie mobile, et 30 % leur direction marketing.

          « L’influence des technologies numériques a clairement modifié le mode de fonctionnement des entreprises, les dirigeants assumant de plus en plus la responsabilité des choix technologiques », poursuit Jean-Laurent Poitou. « Ces choix ont un lien de plus en plus direct et visible avec la croissance de l’activité. Nombreux sont encore les défis à relever pour les entreprises : si la nécessité d’adopter des stratégies technologiques clairement définies est cruciale pour elles, celles-ci doivent également maîtriser les technologies d’aujourd’hui sans perdre de vue celles de demain. A l’heure où la génération Millenium grandit avec des tablettes, les entreprises doivent se montrer rapides dans leurs adaptations technologiques, avec un système de support technologique assez robuste pour les y aider, mais aussi pour leur permettre d’exploiter pleinement les capacités des technologies numériques déjà en place. La mobilité a précédé les technologies numériques avec lesquelles elle converge désormais, par conséquent les entreprises peuvent tirer d’authentiques enseignements des projets mis en œuvre dans ce domaine. Si elles veulent bénéficier pleinement de la convergence numérique et en obtenir la croissance escomptée, elles doivent impérativement s’inspirer de leurs homologues. »

          L’étude révèle que seuls 30 % des participants pensent posséder les talents et les compétences adaptés à la planification et à l’exécution de leurs projets de mobilité, ce qui explique en partie pourquoi ils ne sont que 27 % à se sentir au fait des nouveaux appareils, systèmes et services mobiles, en les adoptant au fur et à mesure des besoins pour optimiser leur entreprise.

          L'Internet of Everything permettrait au secteur public d'être plus efficace et moins coûteux

          A lire sur: http://www.infodsi.com/articles/146681/internet-of-everything-permettrait-secteur-public-etre-plus-efficace-moins-couteux.html

          jeudi 20 février 2014
          Cisco a réalisé une étude approfondie sur l'Internet of Everything et est arrivé à la conclusion que cette hyper connectivité pourrait permettre aux villes de dégager une valeur ajoutée de 1 900 milliards de dollars à l'échelle mondiale au cours des 10 ans à venir. 

          Proposer des services de meilleure qualité en réduisant la dépense publique, c'est ce que devrait faciliter l'Internet of Everything dans les années à venir. Que ce soit en agissant sur la consommation d'énergie des bâtiments publics, la gestion de l'eau, du trafic routier, du stationnement ou en modifiant les habitudes de travail des employés du secteur, les possibilités d'amélioration sont nombreuses.

          Ainsi, avec des immeubles intelligents consommant moins d'énergie qu'aujourd'hui, 100 milliards de dollars d'économies seraient possibles. Grâce à un contrôle optimisé de la consommation de gaz et d'électricité, ce sont 69 milliards de dollars de plus qui pourraient être économisés.

          Même chose pour le stationnement intelligent offrant une visibilité en temps réel des espaces de stationnement disponibles ou gênants dans la ville (41 milliards de dollars), la gestion de l'eau avec un affichage instantané de la consommation (39 milliards de dollars) ou encore le trafic routier avec un dispositif de paiement automatique pour les véhicules entrant dans des zones urbaines très fréquentées (18 milliards de dollars).

          Et pour les administrations, les avantages semblent également nombreux. Pourquoi ne pas généraliser les solutions de télétravail pour certains employés de la fonction publique ? Elle compte 350 millions d’employés dans le monde. Cela permettrait de réduire les coûts d'exploitation et certainement de rendre le travail plus efficace. Cette amélioration de la qualité de service devrait aussi avoir des effets bénéfiques sur la santé des usagers et des employés. Le chiffre d'affaires des services de l'Etat pourrait également augmenter en proposant une meilleure capacité d'adaptation de l'offre à la demande.

          Mais combien de temps sera nécessaire pour mettre en place de tels dispositifs ? 10 ans seront-ils suffisants ? Cisco, en tout cas, se positionne déjà sur ce créneau.

          Notre monde « sans fil » prédit par Isaac Asimov en 1964

          A lire sur: http://www.infodsi.com/articles/146648/monde-fil-predit-isaac-asimov-1964-alessandro-porro-vice-directeur-ventes-internationales-chez-ipswitch.html

          Par Alessandro Porro, vice directeur des ventes internationales chez Ipswitch

          mercredi 19 février 2014

          Aujourd'hui, nous considérons comme normale la technologie qui nous permet de rester connectés et de communiquer avec le reste du monde où que l'on soit. Ce monde n'a rien à voir avec celui dans lequel vivait Isaac Asimov en 1964 lorsqu'il fit ses prédictions. Ce romancier de science-fiction reconnu et inspiré par des œuvres classiques cultes telles qu'iRobot, décrivit comment il imaginait l'évolution du monde 50 ans plus tard. Maintenant que nous sommes en 2014, nous nous rendons compte de la précision troublante de certains dires d'Isaac Asimov, mais nous constatons également que certains aspects de la technologie ont connu une évolution allant bien au-delà de l'imagination de l'auteur.

          En 1964, Isaac Asimov faisait cette prédiction : « bien évidemment, les appareils de 2014 n'auront besoin d'aucun câble électrique. Ils seront alimentés par des batteries longues durées. » C'est indéniablement vrai dans la mesure où nous avons aujourd'hui une multitude d'appareils sans fil comme des téléphones, des ordinateurs et des tablettes. Cela nous a permis de rester connectés où que l'on soit et a donné à la population active la possibilité d'être mobile. Par exemple, une infirmière à domicile en visite peut envoyer ses rapports à partir de son téléphone sans qu'elle n'ait à retourner à son bureau. L'auteur ne disait cependant pas grand chose au sujet des réseaux permettant cette connectivité.

          Il donna plus de détails à propos de ces « appareils » que nous reconnaissons aujourd'hui comme étant les Smartphone et les tablettes : « les communications seront à la fois visuelles et auditives et vous pourrez à la fois voir et entendre votre interlocuteur. L'écran pourra être utilisé non seulement pour voir les personnes que vous appelez, mais aussi pour consulter des documents et des photographies, ainsi que lire des passages de livres. » Ici, nous pouvons voir qu'il prédisait non seulement les appels vidéo mais aussi la nature multifonctionnelle de la plupart de nos gadgets. Ce qu'il ne présageait pas par contre, c'est qu'en 2014, nous commençons à dépasser le concept des tablettes, des Smartphone et même des écrans avec l'arrivée de l'informatique vestimentaire. Avec la mise au point de lunettes, de montres et même de perruques connectées, notre façon d'utiliser la technologie est encore sur le point de changer. Et moi, parmi bien d'autres personnes, je prédis qu'il ne faudra vraiment que très peu de temps avant que ces gadgets de style science-fiction ne deviennent choses communes dans nos vies.

          Une autre des prédictions d'Isaac Asimov concerne l'éducation et la technologie, et fait référence à la World's Fair de New York : « une partie de l'exposition de General Electric consiste en une école du futur dans laquelle ces réalités actuelles que sont la télévision en circuit fermé et les bandes programmées facilitent le processus de l'enseignement. » Aujourd'hui, la plupart d'entre nous pourraient penser qu'un apprentissage via cassettes vidéo serait vraiment très démodé. La technologie, qui permet à nos enfants d'apprendre, a dépassé, et de loin, les prédictions du romancier puisque sans fil, elle permet aux élèves, même aux plus jeunes, d'utiliser des tablettes en salle de classe. Une étude effectuée récemment par Extreme Networks a révélé que depuis janvier 2014, trois millions d'enfants en âge d'être scolarisés auraient une tablette que la plupart d'entre eux apporteraient à l'école et connecteraient au réseau de l'établissement. Il ne faudra pas longtemps avant que les enseignants ne demandent à leurs élèves de « sortir leurs tablettes ». Cela deviendra aussi commun que lorsque les professeurs amenaient la vieille télévision sur le chariot, il y a de ça quelques années.

          Au sujet de l'éducation Isaac Asimov a continué en disant que « tous les élèves de l'enseignement secondaire apprendront les fondamentaux de la programmation [et] deviendront des as en arithmétique binaire. » Bien que les enfants d'aujourd'hui soient très familiers avec l'utilisation des technologies et d'internet, très peu d'entre eux peuvent se vanter de maîtriser les calculs binaires. Cela commence tout juste à changer avec l'arrivée de la nouvelle tendance des « clubs de codage » dans les écoles. Je suis certain que cela deviendra de plus en plus commun au fur et à mesure que la technologie évoluera, et les employeurs demanderont à leurs employées d'avoir de meilleures connaissances de ces processus internes.

          Enfin, le romancier annonça la chose suivante : « seule une partie de la population mondiale profitera pleinement de ce monde gadgétisé. » En effet, le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui, avec son accès internet répandu et des gadgets électroniques plein les poches n'est accessible qu'aux zones les plus développés. Pour beaucoup de pays, cette technologie, que nous considérons comme ordinaire, est aussi abstraite qu'elle ne l'était pour Isaac Asimov il y a de ça 50 ans. Cependant, comme son coût est de plus en plus bas, cela devrait changer.

          C'est étonnant de réaliser que beaucoup d'aspects du monde moderne avaient été prédits par Isaac Asimov et c'est tout autant incroyable de voir à quel point la technologie sans fil a influencé nos vies en tout juste 50 ans. Cependant, toutes les prédictions de l'auteur ne se sont pas réalisées. Par exemple, nous n'avons pas encore remplacé toutes nos fenêtres par des « écrans électroluminescents » et nous ne nous nourrissons pas non plus de barres constituées d'algues et ayant le goût « de dinde et de steak ». Par chance, ces choses restent bien du domaine de la science-fiction, du moins pour l'instant.

          Notre monde devient à jamais interconnecté : même les montres et les perruques peuvent se connecter aux réseaux. Ce phénomène, appelé l'Internet des Objets (IoT), signifie que le travail des administrateurs informatique va devenir de plus en plus difficile en ce qui concerne la gestion et l'entretien de ces réseaux complexes. Ils devront avoir les connaissances et la technologie nécessaires pour pouvoir gérer et contrôler toute une collection de nouveaux appareils au fur et à mesure qu'ils apparaissent sur le marché.

          À propos du département gestion réseau d'Ipswitch Inc.
          Le département gestion réseau d'Ipswitch Inc. fournit une suite logicielle intégrée, flexible et à prix abordable pour la gestion réseau et les opérations informatique qui est déployée à travers le monde dans plus de 150 000 réseaux. Nos solutions primées, à déploiement rapide, permettent aux professionnels de l'informatique d'unifier et de simplifier la gestion des environnements complexes. Fondée en 1991, la société Ipswitch Inc. a établi son siège social à Lexington, dans le Massachusetts, et a des filiales aux États-Unis, en Europe et au Japon. Suivez-nous sur Twitter (@whatsupgold), Facebook, et LinkedIn, et pour plus d'informations, visitez notre site web www.whatsupgold.com.

          Digitalisation des entreprises : des processus industriels aux processus expérimentaux,

          A lire sur: http://www.infodsi.com/articles/146618/digitalisation-entreprises-processus-industriels-processus-experimentaux-nicolas-odet-directeur-general-adjoint-groupe-hardis.html

          Par Nicolas Odet, Directeur général adjoint, Groupe Hardis

          mardi 18 février 2014

          Avec la montée en puissance du digital, la création de valeur s'organise désormais plus autour des services que des produits. Un bouleversement pour l'entreprise, qui doit basculer d'une culture des processus industriels, à un modèle économique centré sur l'expérimentation, l'agilité et la complicité avec ses clients.

          L’héritage de la révolution industrielle
          Si la révolution industrielle semble aujourd'hui bien loin, son héritage est pourtant encore très présent dans les entreprises. Avec, notamment, une organisation du travail pensée dans une logique de production de masse de produits et services standardisés, conçus pour s'adapter aux goûts et aux besoins du plus grand nombre.

          Dans le modèle industriel, il s’agit de produire toujours plus et plus vite. Ce qui a abouti à une spécialisation des tâches, incarnée notamment par Henri Ford, et une organisation du travail en silos : R&D, production, vente, marketing et communication, support, etc. Dans ce modèle, les processus de développement, de promotion, de commercialisation, mais également de relation avec le client, sont généralement eux-mêmes très standardisés, avec là aussi un objectif affiché d'amélioration de la productivité de l'entreprise.

          De la révolution industrielle à la révolution digitale
          Mais ce qui a fonctionné pendant plus d'un siècle et demi semble atteindre aujourd'hui ses limites, avec l’avènement d’Internet. Ce nouvel espace d'expression, qui permet à tout un chacun de donner son avis, d'échanger avec d’autres internautes, voire d'organiser une forme de contre-pouvoir, a profondément modifié la donne : quand un produit ou un service laisse à désirer, l’information se propage rapidement sur la Toile…

          Face à des clients consommacteurs qui entendent avoir voix au chapitre, les entreprises n’ont pas d’autre choix que de modifier profondément la relation qu’elles entretiennent avec eux. Exit les messages publicitaires et les promesses plus ou moins tenues ! Pour attirer et fidéliser une clientèle autant expressive qu'infidèle, les marques doivent désormais engager le dialogue, justifier et prouver la valeur et la qualité de leurs produits et services, voire leur donner du sens.

          In fine, la création de valeur se porte aujourd'hui plus sur les interactions avec le client et les services (personnalisés) qui entourent le produit, que sur le produit en lui-même. Dans ce contexte, toute la force du digital, c’est de pouvoir créer de la valeur rapidement et efficacement. Et, contrairement à certaines idées reçues, les services digitaux ne sont pas “virtuels“ ou “moins humains“ : ils permettent, au contraire, de “remettre de l’humain“ à tous les stades de la relation client, de replacer le client au cœur des processus (depuis la conception d’un service jusqu’au SAV) et de lui proposer une expérience et un parcours unique.

          A l’heure des expérimentations et itérations
          Toutefois, en parallèle, la révolution digitale a également induit une forte réduction du time-to-market. Exigeant et moins fidèle qu’avant, le client d'aujourd'hui veut tout et tout de suite. Et il n’hésite pas à se détourner d'une marque pour peu qu'une autre, plus agile, réponde mieux à ses besoins…

          Pour proposer rapidement des services digitaux qui créent de la valeur, les marques ont désormais tout intérêt à procéder par itérations : lancer un service digital, même s'il n'est pas 100 % complet ou abouti, puis le faire évoluer en intégrant l'avis consommateur. Une approche qui peut, de prime abord, sembler risquée mais qui présente l'avantage de réduire le time-to-market, et de transformer le risque de décrédibilisation en véritable opportunité, grâce au lien ainsi créé avec les consommateurs.

          Exit donc, les processus longs et standardisés de l'ère industrielle. Et place à l'entreprise agile, aux interactions avec les clients, à la collaboration entre les différentes directions opérationnelles, et à l'expérimentation… Une (r)évolution qui nécessite une transformation profonde de l’entreprise, à tous les niveaux : organisationnels, managériaux, RH… Une transformation qui peut difficilement être mise en œuvre en mode “big bang“, et qui devrait également donner lieu à des expérimentations en interne…


          A propos de Hardis
          Créé en 1984, le Groupe Hardis exerce le double métier d'éditeur de logiciels et de société de conseil et de services IT. Hardis intervient dans sept grands domaines : infrastructure et infogérance Cloud, développement et tierce maintenance applicative (TMA), conseil et aide à la MOA, décisionnel, logistique et transport (suite Reflex), outils de développement (Adelia Studio), externalisation de la paie (logiciel Saphyr). Dans son rôle d'éditeur, Hardis intègre elle-même ses solutions ou s’appuie sur un réseau de partenaires. En 2012, Hardis a réalisé un chiffre d’affaires de 54,7 M€. Le Groupe compte à ce jour plus de 2500 clients et 630 collaborateurs. Basé à Grenoble, Hardis dispose de quatre autres agences à Lyon, Paris, Lille et Nantes. www.hardis.fr 

          Un smartphone rechargeable à la lumière chez Alcatel

          A lire sur: http://www.infodsi.com/articles/146756/smartphone-rechargeable-lumiere-chez-alcatel.html

          mardi 25 février 2014
          Cela fait déjà un petit bout de temps que l'on en parle de ce smartphone Alcatel (marque de TCL Communication) rechargeable à l'énergie solaire grâce au film Wysips Crystal mis au point par SunPartner Technologies. Il est de nouveau à l'honneur à Barcelone. 

          Grâce au film photovoltaïque ultra-fin Wysips Crystal, placé entre l'écran et la dalle tactile, ce smartphone Alcatel peut donc être rechargé simplement en étant exposé à la lumière (solaire ou artificielle). Ce qui permet de ne jamais vraiment être à court de jus.

          Ce smartphone peut également intégrer la technologie Wysips Connect, développée aussi par Sunpartner Technologies, et être ainsi compatible LiFi (Light Fidelity). Ce qui lui permettrait d'échanger des données par ondes lumineuses. "Toute surface peut-être rendue intelligente" précisait Ludovic Deblois, le Président de Sunpartner Technologies lors de la présentation de cet appareil. Ce qui est effectivement le cas de l'écran de ce smartphone Alcatel dont la date de commercialisation n'a cependant pas été précisée.

          Sunpartner a également levé le voile à Barcelone sur des coques opaques et rigides dotées de la technologie Cameleon permettant à l'utilisateur de customiser son smartphone avec les visuels qu'il souhaite et de recharger la batterie à la lumière solaire ou artificielle. Une heure d'exposition assurerait un rechargement d'environ 15 à 30% de la batterie (selon sa capacité). 


          Wearable technology: It's about the work, stupid

          A lire sur: http://searchcio.techtarget.com/opinion/Wearable-technology-Its-about-the-work-stupid

          Karen Goulart, Senior Features Writer

          So much of the focus on wearable technology has been about its coolness factor. (And its fashion fails.) But there's plenty more to be excited about than looking at your wrist to find out who's calling the phone in your pocket -- especially for CIOs and IT leaders.
          Karen GoulartKaren Goulart
          It's true that where businesses are concerned, much of the wearable tech talk has centered on how to defend against the coming onslaught. It will be BYOD all over again (presuming you figured it out the first time), trying to keep employees from spilling company secrets from their Google Glasses.
          But there is another exciting side to wearable technology that CIOs ought to be thinking about for their businesses, and exploring with their partners in the business. If the modern charge of the CIO is to enable the business, wearable technology is poised to be a huge opportunity for meaningful collaboration. This isn't simply about document sharing or morale-boosting fitness challenges. We're talking about the kind of wearable technology that enhances workers' abilities and broadens their capabilities.
          At this year's CES show in Las Vegas, Intel CEO Brian Krzanich -- in the midst of launching a global call for innovation with the company's "Make It Wearable" campaign -- opined that wearables have yet to approach ubiquity because they aren't solving real problems.  That depends on one's definition of "real problems." Krzanich cited the integration of headphones with personal assistance software. Yup, there's that. There's also major surgery. I guess maybe I just take life too seriously?
          An exciting example of this utilitarian -- if not exactly "fun" -- approach to wearable technology, is illustrated in this week's lead Searchlight item. It's a news item from the all-things-science-and-technology-(and Kurzweil)-site, Kurzweil AI, about glasses developed by Washington University School of Medicine scientists that help surgeons "see" notoriously hard to distinguish cancer cells. The glasses were used for an actual surgery there for the first time this week.

          CHECK OUT SEARCHCIO'S OWN COVERAGE OF THESE TOPICS

          Wearable technology presents a very big, big data challenge
          CIOs, watch out for wearables entering the workplace
          Former White House CIO offers cybersecurity tips for businesses
          And this is just one example -- from this week. There was also the abdominal surgery at an Indiana hospital during which doctors used Google Glass to call up the patient's medical information during the procedure.  And the folks at GE who are anticipating technicians using headset cameras to guide them through complex repairs -- also enabling engineers to see a recording of said repairs to ensure they were done correctly. Much like 3-D printing, new examples are surfacing at an increasing clip. Where about nine months ago, folks seemed both aghast and impressed by the creation of a fire-able 3-D printed gun; we've quickly moved on to bigger -- and dare I say exponentially better -- uses, from food to human limbs. It's not a stretch to believe the same will happen with wearable technology. Once the innovation snowball gets rolling, and wearable potential is better understood, watch out.
          And this is the time, as things get rolling, when CIOs need to get on board.  What opportunities are there for IT to help think up, create or even just provision wearable technology? Fitness challenges are fun and all, and collecting data is sure useful, but let's think bigger; let's think about the real work of work.
          • Look for the potential, not just the potential problems; wearable technology in the workplace  could literally save lives (or time or money -- depending on where you work).
          • Facebook looks to boost its youth-cred (and reach) with a reported $19 billionpurchase of mega-popular messaging app, WhatsApp. WhatsApp reportedly rolls its eyes and mumbles, "Whatevs."
          • Maybe we can get a Kickstarter going to help Kickstarter implement better security. Until then, demanding more data collection transparency might be helpful.  
          • Netflix will run deep-learning algorithms on Amazon cloud as it looks to enhance its recommendation engine. Check out the big brain on Netflix! (Oops, now it's going to keep recommending I watch Pulp Fiction.)
          • In its continued quest to in some way touch every possible square inch of planet Earth, Google this week announced Project Tango, a smartphone that can map the world around it.
          • You can't put a price tag on innovative thinking. You can, however, attach an age to it, researchers say.

          How bad data can lead to good decisions (sometimes)

          A lire sur: http://blogs.computerworld.com/financial-it/23555/how-bad-data-can-lead-good-decisions-sometimes

          February 20, 2014 11:35 AM EST


          By Roger M. Stein
          Before companies can profit from big data, they often must deal with bad data. There may indeed be gold in the mountains of information that firms collect today, but there also are stores of contaminated or "noisy" data. In large organizations, especially financial institutions, data often suffer from mislabeling, omissions, and other inaccuracies. In firms that have undergone mergers or acquisitions, the problem is usually worse.
          Contaminated data is a fact of life in statistics and econometrics. It is tempting to ignore or throw out bad data, or to assume that it can be "fixed" (or even identified) somehow. In general, this is not the case.
          I have been studying and writing about how to clean up and optimize data for big data analysis since the early 1990s. At this point I am forced to concede that figuring out how to clean, transform and recast real-world data to make it informative and actionable is as much an art as a science. It turns out that a big chunk of the time we spend in doing data analytics is spent cleaning and recoding the data we work with so that our algorithms and queries can give us sensible clues to what might really be going on under the surface. (The other big chunk of time goes to problem formulation – a subject for another posting.)
          Data corruption is particularly concerning when noisy data are used to test a predictive model. Data problems here can be especially acute since we are using the data, for example, to determine the degree to which we can trust a new predictive model, or whether we should recalibrate an existing model or take it off-line entirely. If the test is flawed, so will be our conclusions.
          So it would seem counterintuitive for me to say that under certain conditions, even bad data can be put to good use for testing models. One of my recent papers demonstrates that if we know a little bit about how and why data are noisy, we can adjust the results of tests and use the results from the noisy data to improve decision-making about predictive models.
          Predicting Default
          One of the big applications of big data at commercial banks involves predicting which borrowers will default and which ones will not. This application is endemic in finance. (In fact, the final project in my credit class involves having students build a bare-bones default model using hundreds of thousands of bank records.)
          Until about fifteen years ago, default models were tested anecdotally: Analysts would pick a few dozen defaulted firms and examine whether a proposed model gave "bad" scores to them. However, at the very end of the last century, researchers began to import techniques for evaluating medical tests and radar detection, to finance.
          In medicine, for example, doctors and researchers use these techniques to determine which diagnostic tests are most effective. Although a medical test may be generally reliable, it will sometimes produce false positives and false negatives. By plotting the percentages of these errors on a graph, researchers can determine the most effective ways to interpret test results. Similar techniques generalize nicely to finance, where the diagnostic test is replaced with, say, a default model and "disease status" is replaced with "default status."
          These tests tend to work fine when data are reliable, but they can produce questionable results when data are noisy. Unfortunately, noisy data are fairly common. For example, in the case of default prediction models, historical data on borrower outcomes are sometimes mislabeled—with either good loans classified as defaults or, more often, bad loans classified as non-defaults. When banks convert to new formats or when institutions combine, errors multiply.
          In a recent paper I developed an approach that banks can use to test models(PDF), even when they know the test data are contaminated. By taking into account the fact that some of the data used to test a model are erroneous and adjusting the results of a test to reflect that, analysts can (in expectation) account for data noise.
          Bad Data or Bad Model?
          Of course, banks have known for years that significant portions of their data are incomplete, wrongly coded or corrupted. But analysts often assumed that the bad data would affect all models equally and thus "cancel out" when testing two models. My results show that this is not true. One of the interesting consequences of this research is that the accuracy of better performing models deteriorates faster than that of poorer performing models when corrupted data are introduced. As data get noisier, it becomes harder to tell the difference between a poorly performing model and a very good one.
          Although these results can be generalized to many other "discrete choice" settings outside of finance, to be clear, they only provide guidance on one narrow real-world challenge in model testing. Indeed, this has been a rich and active area of research in the statistics and econometrics literature for decades and has led to far broader and more ambitious results than the new ones I wrote about.
          However, I still find these new results encouraging. They suggest that even when data are contaminated and mislabeled in realistic but unrecoverable ways, with some knowledge of the extent and structure of data noise, firms can still use these "bad" data to better understand and test their predictive models. It would be convenient if data were always clean and accurate. This is typically not the case and the results show that this fact cannot be simply ignored. In some settings though, with proper adjustments and interpretations, bad data can still lead to good decisions.
           
          Roger M. Stein is a Senior Lecturer in Finance at the MIT Sloan School of Management, a Research Affiliate at the MIT Laboratory for Financial Engineering, and Chief Analytics Officer at State Street Global Exchange.

          Crise de défiance autour du Bitcoin ?

          A lire sur: http://www.linformaticien.com/actualites/id/32238/crise-de-defiance-autour-du-bitcoin.aspx

          par Margaux Duquesne, le 26 février 2014 15:14

          Depuis hier, les questions fusent autour de la possible faillite de la plateforme d’échanges de bitcoins MtGox : que s’est-il passé exactement ? Qu’advient-il des bitcoins détenus dans les portefeuilles en ligne ? Et surtout, quelle leçon retenir de cet épisode encore très mystérieux ?
          Ils ont du être contents les détenteurs de bitcoins utilisant la plateforme MtGox : le site est hors service depuis hier. La page blanche, que nous évoquions déjà hier sur le site de Mag-Securs, a aujourd’hui laissé place à un petit mot d’explication sur lequel les visiteurs tombent en arrivant sur l'URL du site qui ne fonctionne toujours pas :
          « Chers clients de MtGox,À la lumière des récents articles de presse et des répercussions éventuelles sur les opérations de MtGox et sur le marché, une décision a été prise de fermer toutes les transactions pour le moment afin de protéger le site ainsi que nos utilisateurs. Nous surveillerons de près la situation et réagirons en conséquence. 

Cordialement, 
L’équipe de MtGox »
          À l’instant même où nous écrivons ces lignes, le fondateur du site vient de rajouter un petit message, signé de son propre nom, pour rassurer les internautes sur la rumeur qui insinue qu'il a fui le Japon, son sac de bitcoins sur le dos :
          « Chers clients de MtGox,

Comme il y a beaucoup de spéculations concernant MtGox et son avenir, je voudrais saisir cette occasion pour rassurer tout le monde que je suis encore au Japon, et que je travaille très dur avec le soutien de différents acteurs pour trouver une solution à nos récents problèmes. 

En outre, je voudrais vous demander de bien vouloir vous abstenir de poser des questions à notre personnel: ils ont reçu l'ordre de ne pas donner de réponse ou d'information. S'il vous plaît, revenez sur cette page pour d'autres annonces et mises à jour. 
Cordialement, 
Mark Karpeles »

          Stratégie de crise

          MtGox était à l’origine un site d’échanges de cartes Magic, d’où le nom : Magic the Gathering Online Exchange qui a donné MtGox. Il fut transformé en plateforme d’échange de bitcoins en 2010. Le site bitcoinsfr a retracé tous les faits qui se sont déroulés depuis hier.
          On apprend notamment l’existence d’un document baptisé « Crisis Strategy Draft », mis en ligne par un membre de la communauté Bitcoin : cette note qui a fuité explique que la plateforme a perdu 750 000 bitcoins et chercherait actuellement des solutions pour répondre à la crise.
          Une conversation en chat entre le fondateur de MtGox, Mark Karpeles, et l’administrateur du site WiredFire.com a également été publiée. Karpeles confirme l’authenticité du document de crise, expliquant qu’il était à l’état de brouillon. Selon lui, les bitcoins ne seraient « techniquement pas perdus » mais « juste temporairement indisponibles. »
           
          Le chat de Mark Karpeles

          Crise de MtGox mais pas crise du Bitcoin

          Pour certains observateurs, cette crise ne se propagerait pas à l’ensemble des plateformes d'échange de bitcoins : elle ne toucherait que MtGox. La disparition d’un opérateur n’équivaut pas à la disparition du Bitcoin : il s’agit surtout de la crise d’acteurs majeurs et non de la monnaie virtuelle dans son ensemble. Les autres plateformes ne rencontrent, pour le moment, pas de problèmes similaires.
          Le cours du bitcoin semble avoir été impacté par la fermeture de la plateforme : « Il a baissé, c’est certain, mais de peu, surtout pour du Bitcoin. Mes ordres d’achats à 300 euros ne se sont toujours pas déclenchés ce matin. Ils remontent, même », explique Stéphane Bortzmeyer, expert en cryptographie et lui-même détenteur de bitcoins. Une baisse d’environ 15 % a été observée, mais elle a pratiquement été rattrapée depuis : « Le cours est presque au niveau où il était avant l'affaire MtGox », confirme également Maxime, 32 ans, entrepreneur vivant à Berlin et gérant le compte twitter du site BitcoinFR

          L’avenir du Bitcoin est-il… hors ligne ?

          Qu’advient-il des bitcoins placés dans les portefeuilles de la plateforme MtGox ? « La même chose que ce que deviendraient les messages stockés sur Gmail si Gmail fermait : disparus », continue Stéphane Bortzmeyer.

          Pour éviter ce genre de désagrément, Maxime, membre de la communauté Bitcoin, a choisi une solution plutôt simple : « Mes bitcoins sont stockés sur un "cold storage", c'est-à-dire hors ligne. C'est même conseillé pour éviter les risques de perte. Stocker ses bitcoins hors ligne est la meilleure façon de ne pas se les faire voler. Évidemment quand on vend ou achète, il faut bien qu'ils soient en ligne à un moment donné, mais une fois l'opération terminée, il faut les rapatrier en sécurité le plus vite possible. » Le seul risque de ce stockage sur un support numérique (clé USB, ordinateur non connecté) reste le vol pur et simple de l’appareil.